Samedi 6 octobre, nous étions 8 vélocouchistes à participer au contre-la-montre individuel du lac de Paladru.
Pour s'échauffer, rien de tel que de venir en vélo de Moirans, environ 25 km en montée tranquille, mais qui monte quand même. Bon, comme on est parti tard à cause de la pointe arrière de la Vipère qu'il fallait fixer sur le Speculoos, en arrivant au départ de la course je n'ai plus eu le courage de faire un tour d'échauffement et de reconnaissance autour du lac (en fait j'avais seulement envie de m'allonger pour me reposer...).
Le ciel était menaçant mais c'est seulement à la fin de la course qu'il s'est mis à pleuvoir. Par chance pour nous, les vélocouchistes partaient dans les premiers, et seuls quelques-uns d'entre nous ont essuyé quelques gouttes de pluie à la fin de leur tour.
Ma course à moi s'est passée comme une balade cyclotouristique (joli le lac !), étant donné que je n'ai plus d'entraînement j'ai roulé comme une patate et accompli laborieusement le tour en 27 minutes et 30 secondes, les meilleurs étant à moins de 20 minutes. Crocogile, qui était parti une minute après moi, m'a rapidement rattrapée avec son vélo couché sur le ventre qui lui donne une allure de nageur en train de palmer avec fluidité.
Mais ayant ainsi réalisé ce tour de reconnaissance, je connais le terrain et ses trop nombreuses bosses (quoi ?? encore une ?!), ce qui me permettra d'y aller l'année prochaine avec plus de facilité, et de prendre mon plateau de 60 dents pour pouvoir emmener un peu plus long dans les descentes, et tenter de pallier ma perte de temps dans les côtes. Je saurai également que l'impression de pédaler dans la choucroute quelques centaines de mètres après le premier virage n'est pas dû à un frottement de mes disques de frein, mais à un faux plat montant.
Ce qui me donne envie de revenir aussi, c'est que les organisateurs ont vraiment été très sympas : alors que nous n'étions que 2 femmes en vélo couché, pas de quoi faire une catégorie, on a quand même eu droit à une coupe chacune ; si aux 24 Heures de l'INSA en mai j'avais la certitude d'avoir mérité la coupe de l'équipe, en revanche la coupe de Paladru ne me servira que de souvenir de ce joli parcours :
Quant à notre vice-champion de France vélo couché, il s'est classé 3ème au scratch, et 1er vélo couché suivi de près par Marcel en T-bone et Daniel en TiCa.
Le ciel était menaçant mais c'est seulement à la fin de la course qu'il s'est mis à pleuvoir. Par chance pour nous, les vélocouchistes partaient dans les premiers, et seuls quelques-uns d'entre nous ont essuyé quelques gouttes de pluie à la fin de leur tour.
Ma course à moi s'est passée comme une balade cyclotouristique (joli le lac !), étant donné que je n'ai plus d'entraînement j'ai roulé comme une patate et accompli laborieusement le tour en 27 minutes et 30 secondes, les meilleurs étant à moins de 20 minutes. Crocogile, qui était parti une minute après moi, m'a rapidement rattrapée avec son vélo couché sur le ventre qui lui donne une allure de nageur en train de palmer avec fluidité.
Mais ayant ainsi réalisé ce tour de reconnaissance, je connais le terrain et ses trop nombreuses bosses (quoi ?? encore une ?!), ce qui me permettra d'y aller l'année prochaine avec plus de facilité, et de prendre mon plateau de 60 dents pour pouvoir emmener un peu plus long dans les descentes, et tenter de pallier ma perte de temps dans les côtes. Je saurai également que l'impression de pédaler dans la choucroute quelques centaines de mètres après le premier virage n'est pas dû à un frottement de mes disques de frein, mais à un faux plat montant.
Ce qui me donne envie de revenir aussi, c'est que les organisateurs ont vraiment été très sympas : alors que nous n'étions que 2 femmes en vélo couché, pas de quoi faire une catégorie, on a quand même eu droit à une coupe chacune ; si aux 24 Heures de l'INSA en mai j'avais la certitude d'avoir mérité la coupe de l'équipe, en revanche la coupe de Paladru ne me servira que de souvenir de ce joli parcours :
Quant à notre vice-champion de France vélo couché, il s'est classé 3ème au scratch, et 1er vélo couché suivi de près par Marcel en T-bone et Daniel en TiCa.
Last but not least, une autre cérémonie s'est déroulée après la course : c'est l'essai du vélo couché sur le ventre, qui combine position allongée aérodynamique et sensation de "tête dans le guidon" qu'on a oubliée depuis qu'on roule sur le dos. Ah comme on se sent rajeunir de devoir réapprendre à conduire un vélo... la direction vacille au début de l'apprentissage, mais avec un peu de persévérance, quelle satisfaction de réussir à pédaler quelques minutes sur ce vélo qui présente des potentialités pour la performance.
PS : pourquoi ai-je écrit en rose le dernier paragraphe ? à cause de la couleur du vélo bien sûr ;-)
1 commentaire:
Ca fait plaisir,
J'avais peur que finalement, le H-Zontal soit reconnu avant tout comme vélo inconfortable. C'est vrai, à force de vouloir traiter ce qui ne va pas, on en a oublié ce qui va.
La position superman, finalement, c'est quand même marrant !
A bientôt et je reste dispo pour organiser une séance d'essai sur un grand parking ou autre pour un petit groupe de personnes.
A+
Crocogile
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