mercredi, juin 27, 2012

Et si je vous racontais ma descente en enfer (suite...) ?


Voici la suite de la petite histoire racontée dans la note d’avant.

Nous en étions resté à l’utilisation du vélo couché pour se rendre au bureau.
A l’heure où j’écris cette note, ce vélo a 2500km au compteur. C’est uniquement des parcours pendulaire.

Acheté en novembre 2011 pour 1100 €, équipé pour 400€ d’éclairage efficace et d’accessoires utiles, il m’est revenu à 1500€. Un rapide calcul amène ce véhicule a me revenir à 0,60€ du kilomètre.
Je fais cet aparté pour montrer que, oui, ce genre de vélo est cher, mais qu’en fonction de son utilisation, il ne l’est pas. Aller trouver un véhicule qui ne vous coûte que ça. Sachant que plus on l’utilise et plus le coût de revient diminue.
Ce vélo a un très gros défaut. Il est assez dur à utiliser lorsqu’il fait très froid et surtout inutilisable pour moi lorsqu’il pleut parce que c’est très désagréable. Ce n’est pas du, spécifiquement parce que c’est un vélo couché, c’est le cas pour tous les vélos dit classique.
J’ai donc recherché une autre solution. Une solution pour se déplacer sans moteur, au chaud ou presque et par tous les temps.
J’en suis donc venu à me pencher du côté du vélomobile. En même temps, à traîner sur le forum du vélo horizontal, on tombe fatalement sur un des allumés qui pratique ce véhicule étrange et qui vous raconte à longueur de lignes que c’est trop bien que ça tue de la mort et que c’est une vraie connerie que d’utiliser autre chose. Bon. C’est sur. Je caricature.
Et là. Les tonnes de questions et de barrières qu’on peut avoir devant la nouveauté, s’amoncellent.
C’est ridicule quand même ?
C’est cher.
Ça s’achète ou ?
Ça va s’inscrire dans ma vie ?
Et la barrière ultime, mais il me faut un endroit pour loger la bête.
Et ben. On part de bas là.
Mais il n’y a pas le feu.
Peut être ça va se faire, peut être pas, mais l’idée est excitante.

A suivre...


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